La marche rapide et le jogging modéré sont de puissants alliés contre le vieillissement prématuré. Contrairement à l’endurance extrême, ces efforts bien dosés améliorent la santé sans multiplier les risques. Dans cet article, je vous parle d’intensité, de constance… et du juste milieu à trouver pour bouger mieux, pas forcément plus.

On parle souvent d’« épicondylite » comme d’une inflammation. Pourtant, la douleur du tennis elbow s’explique le plus souvent par une tendinopathie : un tendon qui a perdu sa tolérance à la charge. Comprendre cette nuance change tout. Dans cet article, je résume ce que disent les études récentes et je propose une lecture claire pour amorcer la réparation : éducation, reprise graduée du mouvement et constance, plutôt que repos prolongé.

Une femme marche dans un parc à l’automne, vêtue d’un manteau léger de sport. Les yeux fermés et la main sur l’abdomen, elle se concentre sur son souffle. Cette image illustre l’entraînement respiratoire et le rôle du diaphragme dans une respiration plus fluide et naturelle, symbole d’équilibre entre mouvement, bien-être et conscience corporelle.

Au bureau, on cumule souvent sept à neuf heures assis, et plus de 60 % des personnes rapportent de l’inconfort musculo-squelettique — un cocktail qui fatigue autant le corps que l’attention.  Dans cet article, je vous propose des repères concrets et des vidéos pour faire le tri dans les conseils et pour mieux comprendre les facteurs de risque et les moyens efficaces de prévention.

La douleur à la hanche ne touche pas que les personnes âgées ou arthrosiques. Elle peut aussi apparaître chez les personnes jeunes, actives ou sportives. Derrière ce symptôme se cachent plusieurs causes : tendineuses, articulaires, musculaires ou nerveuses. Cet article passe en revue les plus fréquentes, pour mieux comprendre d’où vient la douleur — et quand consulter.

Les tendinopathies ne sont pas de simples « tendinites ». Elles associent inflammation, dégénérescence et désorganisation de la matrice du tendon. En comprenant mieux ces mécanismes — où les fibres se désordonnent, le tissu se gorge d’eau et perd de sa souplesse —, on comprend aussi pourquoi la douleur n’est pas toujours proportionnelle à la lésion… et pourquoi chaque tendon a sa propre histoire.

La douleur sous la rotule, souvent appelée « genou du sauteur », résulte d’une tendinopathie rotulienne : une irritation du tendon reliant la rotule au tibia. Trop de sauts, une reprise d’activité trop rapide ou une surcharge d’entraînement peuvent en être la cause. Heureusement, un travail musculaire progressif, bien encadré et adapté à chacun, permet de rétablir l’équilibre et de retrouver un genou fort et fonctionnel.

On parle souvent de perte de poids, mais beaucoup ignorent qu’en perdant de la graisse, on peut aussi perdre du muscle. Ce déséquilibre — l’obésité sarcopénique — fragilise le corps, réduit la mobilité et altère la santé métabolique. La bonne nouvelle ? On peut renverser la tendance : alimentation adaptée, renforcement musculaire et accompagnement professionnel font toute la différence.

Quand un bras devient raide, douloureux ou difficile à bouger, la cause n’est pas toujours l’articulation elle-même. Capsulite, tendinopathie, blessure au labrum ou irritation nerveuse peuvent limiter la mobilité. Cet article explique ces causes fréquentes et propose des conseils pratiques pour mieux comprendre le mouvement et prévenir la perte de fonction.

Le syndrome fémoro-patellaire est l’une des causes les plus fréquentes de douleur au genou. Il touche autant les adolescents que les sportifs, et peut limiter la marche, la course ou même la position assise prolongée. Bonne nouvelle : des stratégies concrètes existent pour réduire la douleur et restaurer la fonction, allant du renforcement musculaire ciblé aux ajustements d’activité, en passant par l’éducation et la prévention.

Plusieurs marathoniens et cyclistes centenaires montrent que l’activité physique reste bénéfique même tard dans la vie. Les recherches confirment que l’exercice régulier améliore la santé, prolonge l’espérance de vie et retarde la perte d’autonomie. Il n’est jamais trop tard pour bouger, et chaque pas compte pour préserver sa vitalité et sa qualité de vie.

Certains tissus du corps se blessent sans prévenir. Cartilage, ménisque, tendons, disques et artères sont souvent mal irrigués ou peu innervés, ce qui ralentit leur guérison et retarde l’apparition des symptômes. Résultat : douleurs tardives, problèmes installés. Dans cet article, découvrez pourquoi ces zones « oubliées » s’abîment en silence et quels gestes simples permettent de protéger vos articulations, vos tendons et votre circulation.

Comment doser l’exercice quand la douleur est persistante ? Les recherches montrent que la clé se trouve dans une pratique régulière, modérée et progressive. Qu’il s’agisse de marcher, courir, nager ou danser, mieux vaut miser sur de courtes séances répétées, adaptées à ses capacités, plutôt que sur des efforts isolés et intenses. L’objectif n’est pas la performance, mais une amélioration durable de la qualité de vie.

Danser, marcher ou courir : nos mouvements sollicitent non seulement nos jambes et notre cœur, mais aussi nos muscles respiratoires. Le souffle, souvent oublié, peut pourtant être entraîné comme un véritable allié. Quelques minutes d’exercices réguliers suffisent à renforcer le diaphragme, améliorer la tolérance à l’effort et prolonger le plaisir du mouvement — qu’il soit sportif ou artistique.

La main est un chef-d’œuvre biomécanique où deux familles de muscles travaillent en synergie : les extrinsèques, logés dans l’avant-bras et garants de la puissance, et les intrinsèques, situés dans la main et responsables de la précision. Cette complémentarité rend possibles des gestes quotidiens variés, du plus simple au plus technique. Comprendre ce duo permet aussi de mieux cibler la rééducation, la prévention et l’entraînement.

La hernie discale survient lorsqu’un disque intervertébral déborde de son emplacement habituel et comprime un nerf. Elle provoque des douleurs lombaires, parfois irradiant dans la jambe jusqu’au pied, ainsi que des fourmillements ou une faiblesse musculaire. Contrairement aux idées reçues, elle n’entraîne pas toujours une chirurgie : dans la majorité des cas, une prise en charge progressive et adaptée permet une évolution favorable.

Se réveiller en pleine nuit avec une crampe au mollet est une expérience brutale. Ces contractions douloureuses touchent aussi bien les sportifs que les adultes plus avancés en âge, les femmes enceintes ou les patients en hémodialyse. Si leurs causes sont multiples — fatigue, posture, déséquilibre nerveux ou minéral — la recherche confirme que des gestes simples, comme s’étirer ou marcher quelques pas, restent les moyens les plus efficaces pour les prévenir et les soulager.

L’atrophie musculaire correspond à l’amincissement et à l’affaiblissement progressifs d’un muscle. Elle peut apparaître avec l’âge, mais aussi après une immobilisation, en cas de maladie ou simplement par manque de mouvement. La bonne nouvelle, c’est qu’elle n’est pas une fatalité : rester actif, combiner exercices de résistance et d’endurance, et entretenir ses muscles permet de préserver force, équilibre et autonomie.

Vaut-il mieux marcher ou courir pour vivre plus longtemps ? La réponse n’est pas aussi simple qu’un chiffre de pas ou de minutes. Les études montrent que la régularité et l’intensité comptent autant que le volume total. Courir quelques minutes par jour ou marcher d’un bon pas peut suffire à prolonger l’espérance de vie et à préserver la santé.

On choisit souvent ses chaussures pour leur confort ou leur style, sans penser à leurs effets à long terme. Pourtant, elles influencent notre posture, notre équilibre, et même la santé de nos pieds. Une revue critique récente invite à repenser nos habitudes : trop rigides, trop étroites ou trop amorties, certaines chaussures nuisent plus qu’elles n’aident. Bien choisir ses souliers, c’est aussi prévenir bien des douleurs.